L’amour est tout, pourtant c’est l’amour qui nous a le plus fait souffrir et c’est l’amour qui peut nous guérir de nos maux et de nos souffrances. Quand nous sommes dans la souffrance de la dépendance active peut important qu’elle soit affective, alimentaire, drogues et alcool, sexuel ou jeux pathologiques le déni joue un rôle important qui nous empêche de voir d’identifier, admettre et reconnaître que cette souffrance permanente découle directement de notre dépendance.
Nous rejetons la faute sur les autres ou les évènements pour justifier l’abus. Moi-même aux prises avec plusieurs dépendances dont l’alcool, les drogues, le sexe et la dépendance affective je m’en suis sortie depuis plusieurs années en affrontant mon déni : ne pas voir la réalité telle qu’elle est me mentir à moi-même et aux autres sur mon état mental, émotionnel et spirituel.
Après plus de 25 ans à cheminer avec des psys, thérapies, centre jeunesse, travailleur social et religion ce qui a fonctionné pour moi et ce qui fonctionne encore c’est l’humilité. J’ai admis que je ne pourrai jamais contrôler mes dépendances et que l’origine de mon mal est directement reliée à mes abus. Solitude, isolement, mensonge, masochisme envers moi-même, over dose, relation amoureuse mal saine et sexualité débrider jamais satisfait.
Le déni m’a plongé dans un cheminement de plus de 25 ans dans la souffrance et les échecs. L’obsession et la compulsion propulser par mon égocentrisme total sont ce qui caractérise ma maladie de la dépendance et le déni, cette force obscure qui m’empêchait de voir la réalité et surtout les conséquences de commettre encore une fois les mêmes erreurs en m’attendant a de nouveau résultat ce que je vais appeler la folie. J’ai écrit une formation détaillé sur le déni et comment se sortir de ses griffes. Je vais vous la présenter sous forme de capsule vidéo formative avec exercices pratique très bientôt.
